Kysshaïr Rockshire [histoire terminée]

Identité:

Nom: Rockshire

Prénom: Kysshaïr

Age: 28 ans

Sexe: Masculin

Orientation sexuelle : (forcément gay XD) eh bien ... peut être bisexuel

Uke ou seme: A découvrir

Métier: Bibliothécaire


Descriptions:

Physiques: Kysshaïr est un homme de grande taille, un bon mêtre 90. Il a une stature plutôt normal, ni trop musculeux, ni trop frêle., bien qu'il ait un visage plutôt fin et agréable à regarder. Il a des cheveux d'un roux légèrement rosé avec les reflets du soleil. Ils sont ondulés et tombe légèrement un peu plus bas que ses épaules. Il a un regard profond et des yeux d'une couleur verte telle les plus belles emeraudes. Pour travailler, il porte toujours des costumes d'un noir de jais, aux plis implécables, des chemises d'un blanc immaculé, et une cravate toute aussi noire que son costume. Il a des airs de professeur, et son regard peu parfois paraître glacial mais un sourire vient parfois adoucir ses traits sévères. Un sourire délicieux, charmeur.
En dehors de son travail, il porte des vétements plus décontracter mais jamais voyant. Il est d'un genre plutôt sombre et discret. Il peut arriver parfois qu'on le surprenne avec des lunettes, généralement quand il a passer une journée, la tête dans un livre.

Psychologiques: Kysshaïr est un homme discret, calme et posé, quelque peu timide. Il ne parle jamais plus que de nécessaire. Il peut être aussi froid qu'il peut être chaleureux.
Il nourrit une passion pour la lecture depuis sa plus tendre enfance. Il a le nez toujours fourré dans un livre quel qu'il soit. D'où son attirance pour les postes où il peut passer la plus part de son temps à lire. N'aimant pas le bruit, il s'isole trés souvent dans des lieux calmes comme les bibliothéques, ou encore la nature comme les parcs , les champs ou les forêts. Il aime les chevaux et on peut souvent le retrouver dans une écurie à lire un llivre sous la tête des chevaux.
Il ne parle jamais trés fort, il est toujours poli, et peut être parfois trop. Il ne dit jamais un mot plus haut que l'autre et ne se met jamais en colère. Quand il l'est, il préfère ignoré les gens et plutôt que de répondre il leur tourne le dos et s'en va. Il réfléchit toujours avant de parler. C'est une personne plutôt solitaire, ayant beaucoup de mal à trouver sa place dans un groupe, pourtant il reste trés ouvert, il aime aider ce qui sont dans le besoin.

Autres: Il est rare de le voir porter un bijou, mais les rares personnes à l'avoir vu torse nu on put appercevoir les contours d'un tatouage noir vers l'aine.
[je souhaite bon courage à ceux qui veulent découvrir de quoi il s'agit ...]


Histoire:
Kysshaïr se souvient encore des embruns de l'océan s'échouant sur les falaises de son pays natal. Il est écossais. Il est né dans une ferme, loin de tout. Mais fils unique d'une famille modeste, il a était entouré d'amour.
Kysshaïr se rappelle encore de cet amour familial. Son père était fermier. Sa mère était une institutrice dans l'école d'un petit village voisin. Elle lui racontait souvent des histoires, lui montrait les livres qu'elle aimait. Ses parents adoraient lire. Souvent, il partait tout les trois prés des falaises pour être ensemble dans un lieu silencieux et agréable et où seul le vent venait perturber leur petite ballade.
Il a grandi entouré de vaches et de 2 chevaux. Enfant, il aimait l'école, il était toujours consciencieux, serieux et toujours premier de sa classe. Il rentrait toujours directement chez lui aprés l'école et n'avait pas d'amis. Cela lui était assez égal parce qu'il avait toujours la tête dans les nuages ou dans les livres. Il savait à peine marcher qu'il parcourait déjà les images des journaux que son père achetait ou des livres que sa mère laissait traînait..
A l'age de cinq ans, sa mère tomba gravement malade. Le docteur l'envoya dans l'hopital d'une grande ville, mais hélas ils ne purent lui sauver la vie.
Il pleuvait à torrent ce jour-là, le jour où son mère fut mis en terre. Ils étaient restés là longtemps sous la pluie battante, seuls. Il n'y avait eu personne à leurs côtés. Tous deux avaient toujours été si seuls. Son père ne pleurait pas, il ne le pouvait pas, ce n'est pas ce que sa mère aurait voulu. Mais lui, sanglotait doucement.
sa mère était morte seule dans cet hopital loin des siens.
Kysshaïr se rappelle encore l'odeur de l'herbe mouillée emplissant l'air. Son mère avait toujours aimé la pluie.
"Elle ne l'était pas."
C'était une voix plutôt agréable, profonde et grave. Kysshaïr avait relevé les yeux et s'était enfin apperçut qu'un parapluie l'abritait. Il s'était tourner lentement pour faire face à cet homme qui lui souriait tristement. Il avait un air de ressemblance avec sa mère.
Son oncle. C'était incontestable. De 10 ans plus jeune que son père. Kysshaïr apprit alors que son père s'était disputé avec son frère cadet parce que celui ci avait décidé d'épouser une japonaise et avait décidé de partir vivre là-bas. Sachant combien la vie de ferme était difficile pour un homme seul, surtout dans les highlands, son oncle leur proposa de venir vivre avec eux. Mais son père refusa, il ne voulait pas quitter ce lieux qu'il avait construit avec son épouse.
Son père ne se remaria jamais. La photo de sa mère trôna toujours sur la commode du salon, et dans leurs chambres.
Quand il eut dix ans, il aida son père, tout en étant consciencieux à l'école. Souvent son père s'inquiétait de le voir seul avec lui. Mais Kysshaïr le rassurait toujours d'un sourire charmant. Il ne voulait pas laisser son père seul dans cette ferme isolée de tout.
Puis vint ce jour, où son père tomba malade, il avait à peine quinze ans. Il sut alors que cette vie n'était plus faite pour lui. Qu'il leur fallait trouver autre chose, il leur fallait quitter cette ferme et se rapprocher de la ville. Grâce à ses efforts dans les études, il décrocha une bourse pour payer ses études. Il vendit les vaches et un des chevaux, le deuxième ayant appartenu à sa mère, il n'eut pas le courage de vendre la pauvre bête qui atteignait déjà bravement l'âge de vingt cinq ans. Aprés une discution houleuse avec son père qui laissa ce dernier trés affaibli, il se vit contraint de vendre la ferme et d'appeler son oncle avec qui il avait gardé des contacts. Ce dernier vint régulièrement leur rendre visite malgré l'éloignement.
Il passa l'année qui suivit à faire ses études pour devenir traducteur. Aprés les cours, il avait trouvé un petit boulot qui lui permettait de s'occuper de son père. Cet homme, qu'il respecter avait toujours un sourire pour lui, il faisait de son mieu pour ne pas être une lourde tâche pour ce fils tant aimé.
Mais son oncle parvint à convaincre son père de venir vivre avec sa famille au japon.
Ainsi, Kysshaïr fut obligé de tout abandonner. Il n'avait que seize ans.
Lui et son père arrivèrent dans cettenouvelle famille au premiers jours du printemps au moment où les cerisiers sont en fleurs. Mais ce spectacle pourtant si magnifique le laissa de marbre. Il fit la connaissance de sa cousine et son cousin du même âge que lui. Mais Kysshaïr était resté en retrait, il s'était plongé dans les livres, préférant sa solitude à la vie si compliqué et fourmillante qu'était la ville de Tokyo.
En soi, Kysshaïr n'avait jamais créé d'histoire, si ses cousins passèrent par la phase habituelle de la rebellion de l'adolescence, Kysshaïr était resté un enfant calme, patient et toujours en retrait. Il ne voulait pas inquiéter son père.
Son oncle n'eut jamais à se plaindre.
Il termina ses études et il aida son oncle et son père à tenir un petit restaurant tout en faisant des petits boulots dans les écoles et université à tenir les bibliothèques, endroits où il prenait plaisir à rester des heures à écouter chuchoter les élèves, à les renseigner, à leur trouver les ouvrages dont ils avaient besoins. Alors que ses cousins quittèrent tokyo pour faire le vie ailleur. Quand il eut vingt ans sa cousine Kyoko se maria avec un secretaire de bureau. Quant à son cousin Gabriel, deux aprés être devenu commercial dans une bonne entreprise, il partit voyager avec son amie actuelle. Ainsi Kysshaïr se retrouva seul avec son père et son oncle.
Ils les aida pendant quatre ans, et Gabriel revint préférant finalement aider son père dans son restaurant. Ce dernier se maria et eut un enfant.
Quand il ferme les yeux, Kysshaïr se souvient encore du parfum léger de cet homme qu'il a connu juste aprés l'université, un client régulier du restaurant.
Pendant cinq ans, le soir, ensemble, sans que personne n'en sut jamais rien, tous deux travaillaient dans une maison d'hôte à satisfaire le plaisirs de ces dames, même si souvent ils finissaient la nuit ensemble.
A cet époque pour ne pas inquiété son père et de peur de le décevoir avec cette relation encore tabou, Il se trouva un appartement pour vivre seul et ainsi que personne ne put découvrir son secret.
Mais cet amant fut contraint par sa famille à épouser une jeune fille digne et respectable. Leur liaison prit fin et ils se quittèrent sans un mot. Kysshaïr en est encore nostalgique.
Ce fut la femme de son oncle qui vint un jour le trouver à son appartement, avec un joli sourire et de la gentillesse. Elle lui annnonça qu'une école venait d'ouvrir et qu'il cherchait un bibliothécaire. Un pensionnat pour garçon. Comme elle connaissait sa passion pour la lecture et que Gabriel avait décidé de prendre la succession de son oncle, elle avait pensé que cet offre l'intéresserait. Il avait longtemps réfléchi avant de prendre une décision. Il en parla longtemps avec son père comme chaque fois qu'il changeait d'emploi. Son père aurait aimé qu'il se trouve enfin un travail stable. Cela l'avait fait sourire simplement.
A présent il se trouvait devant cette école et l'observait avec une certaine moue.
Kysshaïr pose sa malette au sol, rajuste sa cravatte et penche la tête sur le côté, probablement un nouveau tournant dans sa vie...